Julie Ramadanoski - Mes Petites Machines à Cash
Salut, je m'appelle Julie et je suis développeuse d'applications !
Je partage avec vous mon aventure dans l'automatisation de ses finances personnelles.
Voici ce que je vous propose dans ce podcast :
- Des stratégies concrètes sur des études de cas que j'applique personnellement
- Les outils d'automatisation que j'utilise ou qui existent pour faire travailler mon argent sans "intervention". Je vous expliquerez mon concept de la passivité dans un épisode dédié.
- je vous proposerez aussi Mes outils d'automatisation que j'ai développé pour mes besoins.
- Ponctué par Des interviews d'experts qui révèleront leurs méthodes de terrain, leurs limites et leurs opportunités
- Et Des procédures détaillées pour que vous puissiez les reproduire chez vous ces expérimentations.
Le tout avec zéro blabla, des résultats même s'ils sont négatifs…
Linkedin : https://www.linkedin.com/in/julie-ramadanoski-developpeuse-fintech/
Blog : https://julie-ramadanoski.dev/
Julie Ramadanoski - Mes Petites Machines à Cash
1/3 - Comment copier un trader quand on ne comprend pas encore le trading
Copy trading mini-série 1/3
Dans ce premier épisode de la série, j’entre dans le monde du copy trading avec une idée simple :
copier un trader pour créer un début de revenu passif… puis automatiser tout le processus.
Mais en recopiant les signaux de trading à la main, je découvre la réalité :
le trading a son langage, ses codes, sa temporalité, et une logique que je ne maîtrise pas encore.
Cet épisode retrace mes premiers pas :
comment je découvre les plateformes de trading,
comment je tente de suivre un trader professionnel,
et pourquoi comprendre un signal est indispensable avant d’imaginer une automatisation.
Si vous débutez en copy trading, si vous voulez comprendre ce qui se cache derrière les plateformes de copie de traders, ou si vous envisagez d’automatiser vos stratégies, cet épisode pose les bases.
👉 Série : Copy trading - Mes Petites Machines à Cash
🎧 Épisode 8 — Copy Trading : Débuter le Copy Trading
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Julie Ramadanoski
Salut à tous !
Dites-moi… est-ce que vous avez déjà rêvé de gagner de l’argent sans rien faire ?
Vous savez, ces traders qu’il suffirait simplement de copier pour empocher les mêmes gains ?
Eh bien aujourd’hui, comme promis, je vais vous raconter mon expérience exaltante dans le copy trading.
Parce qu’on apprend vraiment en faisant pour comprendre.
Et croyez-moi : si vous n’avez jamais fait de trading, vous allez découvrir beaucoup de choses !
...
Il y a deux ans, sans aucune expérience,
j’ai voulu automatiser la stratégie d’un autre trader
via une chaîne Telegram payante…
Et c’est là que j’ai mis le doigt sur quelque chose
dont personne ne parle vraiment quand on évoque le trading automatique.
Si, vous aussi, vous aimez les raccourcis
et les promesses de gains faciles… restez bien jusqu’à la fin.
Bienvenue dans cette mini-série en trois épisodes consacrée au copy trading !
Je m’appelle Julie, je suis développeuse d’applications full-stack en freelance,
et dans Mes Petites Machines à Cash,
je vous raconte comment j’ai voulu automatiser la stratégie de quelqu’un d’autre…
Pourquoi j’ai choisi ce trader,
quelles questions je me suis posées avant de commencer,
quelles étaient mes attentes,
et surtout, comment j’ai fait mes calculs.
Vous verrez les résultats réels,
les pièges dans lesquels je suis tombée,
et toutes les leçons que j’en ai tirées
pour tenter de créer un revenu automatique —
en ne travaillant que quelques mois pour mettre ce système en place.
C’est une histoire d’expérimentation, de curiosité,
et de désillusion aussi,
mais surtout, une plongée concrète dans les coulisses du trading automatisé.
En parlant de système…
le logiciel Mes Petites Machines à Cash est enfin sorti !
Cette première version vous permet de savoir à quel point vous maîtrisez vos stratégies.
Vous avez choisi une stratégie en connaissance de cause ? Très bien.
Elle a son propre risque intrinsèque,
mais vous, qui la mettez en œuvre…
à quel point êtes-vous dangereux pour elle ?
Mes Petites Machines à Cash,
c’est 31 questions, réparties en 4 niveaux,
pour vous aider à prendre conscience de ce que vous ne savez pas encore :
vos biais, vos réflexes émotionnels,
vos limites face au risque,
et même vos angles morts fiscaux.
Bien sûr, aucun conseil en investissement dans ce podcast ou dans l’outil —
mais je peux vous garantir une chose :
vous en saurez plus que 99 % des gens
qui ont déjà investi dans leur vie.
Le lien de la bêta est en description.
Vous aurez un accès illimité et gratuit à cette première version,
et j’attends vos retours pour construire ensemble
le cockpit parfait de vos petites machines à cash.
Revenons-en au copy trading.
Ma théorie, à l’époque, était simple :
Pourquoi passer des mois à apprendre le trading,
alors qu’il suffit de copier quelqu’un
qui fait déjà tout le travail à ma place ?
Je suis développeuse d’applications,
donc récupérer des données, les automatiser,
et les faire exécuter par un courtier…
c’est totalement dans mes cordes.
Et puis soyons honnêtes :
j’ai des clients, des projets,
je n’ai pas le temps de rester plantée devant des graphiques
à attendre que l'on me dise quoi faire
En plus, il parrait que les gens deviennent fous
dès qu’il s’agit d’argent sur les marchés.
Ils paniquent, ils réagissent de façon disproportionnée,
et laissent leurs émotions décider à leur place.
Moi, je voulais éviter tout ça.
Pas de stress, pas de biais psychologiques.
J’automatise, et c’est fini.
Du moins… c’est ce que je croyais.
Parce que la réalité, elle,
allait me secouer comme un prunier.
Alors, commençons par le début :
comment j’ai choisi mon premier signal.
Et pour ça, il faut d’abord poser les bases :
qu’est-ce que le trading, vraiment ?
et surtout, qu’est-ce qu’on copie quand on copie un trader ?
Au départ, je savais que je voulais copier des gens,
mais j’ignorais totalement le concept de signal.
Un signal, en fait, c’est le message qu’on reçoit.
Il indique ce que fait la stratégie qu’on copie :
quand acheter, quand vendre,
où placer son stop, où prendre ses gains…
On peut le recevoir sur TradingView,
sur Telegram,
ou n’importe quelle autre plateforme.
Mais pour faire un test,
hors de question d’y mettre des milliers d’euros !
Je voulais juste vérifier trois choses simples :
- Est-ce que je peux récupérer le message automatiquement ?
- Est-ce que je peux connecter mon courtier ?
- Et surtout… est-ce que c’est rentable ?
Pour les deux premiers points,
aucun doute : techniquement, c’est jouable.
Alors je me concentre sur l’objet de ma convoitise : la rentabilité.
[fait semblant de taper] "Comment faire de l’argent avec un signal de trading ?"
dans mon moteur de recherche.
Et là, je tombe sur :
“Signal Forex – 20 000 pips par an.”
Les chiffres défilent : des pertes, certes,
mais tellement de gains que ça me paraît trop beau.
Aucun témoignage, mais je peux me faire les dents sur la version gratuite !
Parfait.
J’ouvre Excel,
et avec un petit coup de pouce de ChatGPT —
c’était le tout début —
je commence à faire mes projections
à partir des chiffres de leur page de vente.
Et là… révélation.
Même en me payant pour le développement,
je pouvais atteindre 100 000 € en trois ans,
puis faire croître le capital de façon exponentielle.
J’y crois pas trop,
alors je refais mes calculs,
j’ajoute des décotes :
les ratés, les petits mensonges, la fiscalité,
les bugs de serveur, les interruptions…
Mais même aplati,
le résultat reste ultra motivant.
Alors ni une ni deux,
je télécharge l’application du fournisseur de signaux.
J'inspecte le tout :
tout semble automatisé, propre,
et surtout cohérent
avec leur historique de résultats affiché des dernières années..
Et là…
nouveau shot de dopamine.
Je suis prête à plonger tête la première
dans l’expérience du copy trading.
Seulement voilà…
je rencontre déjà mon premier gros problème.
Pour récupérer le signal depuis une application sur mon téléphone,
il faudrait que le téléphone soit allumé en permanence,
et qu’une autre application écoute les notifications
pour ensuite ouvrir la première et tout enregistrer.
Euh… non.
Là, je sens la grosse galère.
C'est beaucoup trop complexe, trop bancal,
surtout pour un simple test.
Et puis, franchement,
hors de question que ma rentabilité dépende
de ma capacité à garder un téléphone éveillé 24h/24.
C’est là que je vois la mention “version premium” :
un signal payant sur Telegram.
Ah, là, ça devient intéressant.
Parce qu'après quelques recherches, la documentation m'informe que l'on peut écouter les messages Telegram
grâce à leur API.
[aparté]
Une API, c’est comme une porte d’entrée pour les développeurs.
Elle permet de consulter les données
et d’interagir avec une application qui ne nous appartient pas.
Parfait.
Je pourrais donc automatiser la récupération du signal proprement,
sans dépendre d’un téléphone.
Et en plus, ce signal premium est censé être plus performant :
plus de signaux, donc plus de rentabilité.
(Ceux qui font du trading,
je vous entends déjà rigoler derrière vos écrans…)
Alors est ce que cette affaire serait toujours rentable ?
J'ajuste mes feuilles de calcul.
Le site annonce 20 000 pips par an.
Je découvre qu’un pip,
c’est simplement l’unité minimale de variation d’un prix.
Et selon plusieurs sources,
un pip équivaut souvent à 1 dollar.
20 000 pips, donc 20 000 dollars ?
Moins la flat tax…
ça me ferait un SMIC par an, sans rien faire.
Là, je commence à rêver.
Copier un signal, encaisser les gains, automatiser le tout.
Et je fantasme un peu :
Est-ce que les gens pensent que c’est une arnaque
et du coup, ils n’essaient même pas ?
Ou est-ce que, parce que je suis développeuse,
j’ai un avantage que d’autres n’ont pas ?
Et si le fournisseur se faisait de l’argent
simplement grâce au volume de ventes ?
300 € pour un signal “à vie”
quand il promet 20 000 $ par an,
c’est presque donné.
Il y a forcément un loup.
Quelque chose que je ne vois pas encore.
Accrochez vous,
ce n’est pas un seul piège que j’allais découvrir,
mais une bonne dizaine.
Il y a des gens pour qui vivre le trading, c’est presque un art de vivre.
Ils se lèvent avec les marchés,
Se plongent dans les graphiques et vivent les émotions du marché
Et franchement…
je les admire.
Tracer des lignes, reconnaître des figures,
anticiper les mouvements du marché —
oui, c’est classe.
Mais soyons honnêtes :
ce n’est pas du tout ma passion.
Pourtant, je me suis forcée à passer par cette étape.
Et je vais vous dire pourquoi.
J’ai acheté ce fameux signal à 300 €.
Et, rétrospectivement,
c’est probablement l’investissement le plus rentable
que j’aie jamais fait…
juste pour un test.
J’ai décidé de faire toutes les opérations à la main,
en m’interrompant dans mes journées
à chaque nouvelle alerte reçue,
pour comprendre le processus à automatiser.
Parce qu’en développement,
il y a une règle que j’ai apprise très vite :
quand un client te demande une automatisation,
il oublie souvent que tu n’es pas dans sa tête.
Il te donne les grandes lignes,
mais jamais les subtilités,
ni les procédures d’urgence.
Alors, cette fois, j’ai voulu vivre le process
comme si j’étais ma propre cliente.
Me voilà donc à faire du copy trading manuel.
Petit détail pas très fun :
à l’ère des applis instantanées,
il m’a quand même fallu plusieurs jours
pour ouvrir un simple compte démo —
c’est-à-dire un compte “pour de faux” —
chez IG, pour tester cette fameuse stratégie.
Merci à eux, et merci à GitHub,
qui m’a permis de trouver du code tout prêt
pour connecter mon futur programme.
Rien que de voir à quoi allaient ressembler
les ordres à passer par le code,
ça m’a déjà rassurée.
Mais alors, quand j’ai ouvert l’application…
le choc visuel.
Ça clignote de partout.
Les chiffres défilent.
Tout est minuscule.
je ne comprend rien a ce qu'affiche l'écran pour passer les ordres.
Spot, marge, future, limite…
Et des leviers à x5, x50, x100 !
Sérieusement, pourquoi il m'insulte comme ça ?
Moi je voulais juste acheter un truc !
Et le pire,
[faire le signe 2] c’est que je ne comprenais même pas pourquoi j’en achetais deux.
Une paire de devises ?
Moi, j’en voulais qu’une seule !
Aïe aïe aïe.
Au début, c’était pas facile.
J’ai passé des jours à décoder chaque terme,
à comprendre ce que je voyais à l’écran.
Jusqu’à ce que je réalise quelque chose de fondamental :
sur les marchés, on n’achète jamais une monnaie seule.
On achète une devise contre une autre.
Par exemple, si je veux acheter de l’euro,
Acheter un euro contre un euro,
ça n’a aucun sens.
Il vaut toujours un euro.
Par contre, acheter de l’euro contre du dollar,
là, oui.
Parce que les monnaies s’échangent entre elles,
avec des valeurs qui bougent tout le temps. on les compare à quelque chose.
Et c’est précisément cette différence de valeur
qu’on essaie de capter.
Voilà.
J’étais enfin prête à comprendre
ce que je faisais vraiment…
ou du moins, à essayer.
Un matin, le doute s’est emparé de moi.
En réalisant que je “jouais” avec des devises,
je me suis demandé si ce que je faisais était moralement correct.
J’ai l’habitude, dans mon travail,
de faire attention à l’impact de ce que je fais :
le coût en temps, en énergie, en performance —
donc énergétique et écologique aussi.
Et là, je me suis posé la question :
“Est-ce que c’est éthique d’échanger des devises ?”
“Est-ce que je pourrais, sans le vouloir,
contribuer à l’effondrement d’une monnaie,
et à la ruine d’un pays entier ?”
Ne riez pas…
ça m’a vraiment travaillé.
Alors j’ai voulu en avoir le cœur net.
Je suis allée voir les chiffres du volume d’échanges mondiaux.
Et là… j’ai pris une claque monumentale.
Vous êtes prêts ?
On parle d’environ 9 595 milliards de dollars échangés
chaque jour sur le marché des devises.
Je répète :
neuf mille cinq cent quatre-vingt-quinze milliards.
Par jour.
Rien que sur le Forex.
J'étais choquée.
Autant dire que mes dix euros de test
n’allaient pas bouleverser l’économie mondiale.
À ce moment-là,
je me suis sentie un peu bête,
et même un peu honteuse,
d’avoir imaginé que je pouvais peser quoi que ce soit là-dedans.
Donc, reprenons.
Une fois mes doutes moraux balayés par le tsunami des marchés financiers,
je me suis sentie minuscule, oui,
mais aussi… inspirée.
Je me suis dit : "Pourquoi pas tenter de récupérer un pouillème de tout ça pour vivre ? " Ca me paraissait même être une digne vengeance sur toutes les années que j'avais passé à travailler durement.
Armée d’une force nouvelle,
je passe mes premiers trades en spot, levier 100.
En clair, je dis à mon courtier :
“Tiens, je te donne 1 euro,
mais fais-moi trader comme si j’en avais 100.”
L’eldorado.
Je peux gagner cent fois plus !
Enfin… en théorie.
Imaginons :
j’achète l’euro face au dollar à 1,1000,
il monte à 1,1003.
Le prix a bougé de 3 pips,
soit trois centièmes de centimes.
Une variation tellement minuscule
qu’il faut zoomer franchement sur le graphique pour la voir.
Sans levier,
sur mon euro, je gagne 0,00003 $.
Autant dire : rien.
Mais cette fois ci on va ajouter du levier avec cet autre exemple :
L’euro passe de 1,0 à 1,10 —
dix centimes de hausse ça représente 1000 pips
Sans levier, je met 100$ ca deviens 110 $.
une augmentation de 10%
Mais avec levier 100 je demande au courtier de me prêter 10 000€ ! donc 10% de 10 000 deviennent 1000 $ de gains sur un seul trade !
Je me dis :
“Mais c’est pas du trading, c’est une machine à multiplier l’argent !”
Sauf qu’évidemment…
dix centimes de variation sur le Forex,
c’est un tremblement de terre.
Ça prend des jours, parfois des semaines à se mettre en place,
et ça n’arrive pas souvent.
Tout ça, c’est le monde des bisounours.
Parce que quand le marché va dans l’autre sens,
la chute est tout aussi rapide.
Et vos 1 €, vos 100 €,
peuvent disparaître en une fraction de seconde.
-- Avec mon signal, on avait un plan.
Mais le marché, lui,
ne l’avait pas lu.
Il s’en fiche de me faire plaisir.
Il fait sa vie,
avec ses milliers de milliards échangés chaque jour.
À cette échelle,
je n’existe pas.
Et là, j’ai ressenti pour la première fois
ce que ça faisait quand mon signal se trompait.
Je savais que ça pouvait arriver…
mais je n’étais pas prête à le vivre.
En quelques minutes,
le prix redescend :
1,1000… 1,0998… 1,0995…
Je regarde l’écran :
je perds des centimes,
puis des dizaines,
puis tout mon euro.
Et là, pouf —
plus rien.
Ma position est fermée automatiquement.
Je découvre ce jour-là
ce qu’on appelle une liquidation.
En clair, le courtier me dit :
“Désolé, tu n’as plus assez d’argent
pour couvrir ta position.
On coupe tout avant que tu me doives de l’argent.”
Et voilà.
J’ai tout perdu,
sans même avoir eu le temps de vendre moi-même.
Si j’avais piloté un avion,
je me serais crashée, sans visibilité,
sans instruments,
avec tout l’élan de mon ignorance.
Et c’est là que j’ai compris une chose essentielle :
avant d’automatiser,
il faut comprendre.
Et pour comprendre,
il fallait que je me forme au trading.
Merci à vous d’avoir écouté ce premier épisode de la série Copy Trading.
Et parce que se former au trading, ça prend du temps,
dans le prochain épisode, je vous raconterai comment j’ai automatisé… toutes mes erreurs !
En attendant, demandez-vous :
Est-ce que vous pilotez vraiment vos stratégies…
ou est-ce que vous volez à l’aveugle ?
Découvrez-le avec Mes Petites Machines à Cash,
l’application qui vous aide à comprendre ce que vous faites avant d’appuyer sur “acheter”.
À mardi prochain !